Oui bien sûr nous avions faim et froid, nous souhaitions que la pluie s’arrête parfois, mais la boue coulait toujours …
Une image reste fichée dans mon cerveau : je monte un raidillon (boueux) et là apparaît (sous la boue) un magnifique couteau suisse 250 lames (au moins !) : la scie, la loupe, la fourchette, le poinçon … le rêve ! que dis-je ? l’accomplissement, le bâton de maréchal de tout éclai de l’époque !!
Alléluia ! Je le ramasse, je le nettoie tant bien que mal (de la boue)….